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Musset, Alfred de - Stahl, P.J.
Estimate
4,000 - 6,000 EUR
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Description
- Musset, Alfred de - Stahl, P.J.
- VOYAGE OU IL VOUS PLAIRA. Paris, Hetzel, 1843. In-4, chagrin violet, plats recouverts d’une très grande plaque avec réseau de tiges feuillagées et fleuries formant encadrement, avec au centre plaque dorée différente sur chaque plat, dos lisse orné d’une plaque en long, roulette intérieure, doublure et gardes de papier moiré ivoire, tranches dorées (Reliure de l’éditeur).
Illustration gravée sur bois d’après Tony Johannot, comprenant un frontispice, 62 planches et des vignettes dans le texte.
Premier tirage.
L’ouvrage, un des monuments du fantastique romantique, n’a d’équivalent qu’Un autre monde de Grandville.
SURPRENANTE RELIURE DE L’ÉDITEUR A DÉCOR ONIRIQUE, ORNÉE DE GRANDES PLAQUES DORÉES.
Celle du premier plat, bordée d’un très grand réseau de tiges fleuries et feuillagées de pavot à opium, représente Marie tenant la tête de Franz, assoupi dans un fauteuil. Le sujet est emprunté à la gravure en regard de la p. 160, illustrant ce passage : C’était dans un fauteuil que je m’étais endormi, que j’avais couru les aventures, que j’étais parti enfin et revenu ; mais de coursiers ailés et de navires, de voyages et de naufrages, et de morts, il n’était pas question. Je n’avais fait qu’un rêve, et, qu’on me le pardonne, qu’un mauvais rêve (p. 161).
Les plaques sont reproduites par Sophie Malavieille dans Reliures et cartonnages d’éditeur en France au XIXe siècle, pl. 74.
Bel exemplaire.
De la bibliothèque John Lowe (ex-libris).
Premier tirage.
L’ouvrage, un des monuments du fantastique romantique, n’a d’équivalent qu’Un autre monde de Grandville.
SURPRENANTE RELIURE DE L’ÉDITEUR A DÉCOR ONIRIQUE, ORNÉE DE GRANDES PLAQUES DORÉES.
Celle du premier plat, bordée d’un très grand réseau de tiges fleuries et feuillagées de pavot à opium, représente Marie tenant la tête de Franz, assoupi dans un fauteuil. Le sujet est emprunté à la gravure en regard de la p. 160, illustrant ce passage : C’était dans un fauteuil que je m’étais endormi, que j’avais couru les aventures, que j’étais parti enfin et revenu ; mais de coursiers ailés et de navires, de voyages et de naufrages, et de morts, il n’était pas question. Je n’avais fait qu’un rêve, et, qu’on me le pardonne, qu’un mauvais rêve (p. 161).
Les plaques sont reproduites par Sophie Malavieille dans Reliures et cartonnages d’éditeur en France au XIXe siècle, pl. 74.
Bel exemplaire.
De la bibliothèque John Lowe (ex-libris).