

D'Éluard à Tzara.
Envoi autographe signé d'Éluard : "À Tristan Tzara avec ma gratitude et mon affection. Paul Éluard".
Contresigné par Tzara, qui ajoute : "que dada vous garde, Tristan Tzara".
Avant que ne s’effrite le groupe dadaïste et que n’intervienne la rupture avec les surréalistes, marquée par la soirée du 6 juillet 1923, qui s’achèvera dans la violence. Éluard, qui avait pourtant collaboré au Cœur à barbe, se rangera aux côtés d’André Breton, hostile à Tristan Tzara, et les deux anciens amis en viendront même aux mains.