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Steinlen, Théophile -- Jehan Rictus
Estimate
2,000 - 3,000 EUR
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Description
- Steinlen, Théophile -- Jehan Rictus
- Les Soliloques du pauvre. Chez l’auteur, 1897.
- ink on paper
In-8 (217 x 158 mm). Bradel pleine toile gris clair, pièce de titre fauve au dos, couverture illustrée (Cartonnage moderne).
Minime auréole marginale, quelques marques de lecture au crayon.
Edition originale. Ornée de deux portraits de l'auteur, à la couverture et en frontispice, par Steinlein.
Tirage limité à 581 exemplaires réservés aux souscripteurs.
Prospectus joint.
Exemplaire unique, non numéroté, enrichi de 14 dessins originaux de Steinlein.
Envoi autographe signé, au faux-titre : "Pour Steinlen Qui ne l'a pas volé ! De tout coeur. Jehan Rictus (Mai 97)", et à la page de justification, ex-dono autographe signé, toujours de la main de Rictus.
Malgré la mention portée à la justification : "Cette édition, comprenant une Couverture et un Portrait par Steinlen, ne sera jamais réimprimée", le tirage fut rapidement épuisé et c'est le Mercure de France qui réimprima l'ouvrage, sous la même date, avant de nombreuses autres rééditions.
Les 14 dessins et esquisses, reliés dans ce volume, exécutés au pastel gras, noir ou bleu sur des feuillets de vélin aux dimensions de l'ouvrage, représentent des silhouettes masculines ou féminines de pauvres et de sans-abri, dans lequelles on retrouve parfaitement le style des compositions de Steinlein pour l'édition illustrée des Soliloques parue en 1903 chez Eugène Rey.
Minime auréole marginale, quelques marques de lecture au crayon.
Edition originale. Ornée de deux portraits de l'auteur, à la couverture et en frontispice, par Steinlein.
Tirage limité à 581 exemplaires réservés aux souscripteurs.
Prospectus joint.
Exemplaire unique, non numéroté, enrichi de 14 dessins originaux de Steinlein.
Envoi autographe signé, au faux-titre : "Pour Steinlen Qui ne l'a pas volé ! De tout coeur. Jehan Rictus (Mai 97)", et à la page de justification, ex-dono autographe signé, toujours de la main de Rictus.
Malgré la mention portée à la justification : "Cette édition, comprenant une Couverture et un Portrait par Steinlen, ne sera jamais réimprimée", le tirage fut rapidement épuisé et c'est le Mercure de France qui réimprima l'ouvrage, sous la même date, avant de nombreuses autres rééditions.
Les 14 dessins et esquisses, reliés dans ce volume, exécutés au pastel gras, noir ou bleu sur des feuillets de vélin aux dimensions de l'ouvrage, représentent des silhouettes masculines ou féminines de pauvres et de sans-abri, dans lequelles on retrouve parfaitement le style des compositions de Steinlein pour l'édition illustrée des Soliloques parue en 1903 chez Eugène Rey.