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Montherlant, Henry de
Estimate
1,000 - 1,500 EUR
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Description
- Montherlant, Henry de
- Les Bestiaires. Illustrés par Hermann Paul. Paris, Mornay, 1926. Petit in-4. Maroquin framboise, grand décor à froid aux plats représentant une tête de taureau stylisée avec filets prolongés sur dos lisse, titre estampé, doublure et gardes de veau ocre, tranches dorées sur témoins, couverture et dos, sous chemise doublée demi-maroquin à bandes, étui (H. Alix).
édition originale. Dessins en couleurs in et hors-texte d’Hermann-Paul.
Exemplaire de tête n° 1, un des 9 sur Japon ancien à la forme, chacun présentant trois aquarelles originales de l’illustrateur selon la justification. Celui-ci en contient quatre : deux scènes de tauromachie, un taureau et une composition avec épées et banderilles.
Originaire de Provence, Hermann-René-Georges Paul, dit Hermann-Paul (1864-1940) s’était installé en Camargue et était devenu l’un des meilleurs peintres de cette région.
Exemplaire en outre enrichi d’une lettre autographe signée, Neuilly, s.d. [1924], probablement adressée à Colette, directrice de la collection portant son nom chez Ferenczi, qui lui a demandé un écrit pour la dite collection. Heureux qu’elle ait apprécié son "Dents de chien" [dans Les Olympiques], il peut lui promettre de lui donner quelque chose mais ne sait pas quoi ni quand, s’apprêtant à partir pour l’Italie. "J’ai un grand roman sur les taureaux auquel je pense depuis 10 ans, mais il faut que je passe plusieurs mois en Espagne pour le finir". (4 pages in-8, sur papier deuil, montées sur onglet).
Exemplaire de tête n° 1, un des 9 sur Japon ancien à la forme, chacun présentant trois aquarelles originales de l’illustrateur selon la justification. Celui-ci en contient quatre : deux scènes de tauromachie, un taureau et une composition avec épées et banderilles.
Originaire de Provence, Hermann-René-Georges Paul, dit Hermann-Paul (1864-1940) s’était installé en Camargue et était devenu l’un des meilleurs peintres de cette région.
Exemplaire en outre enrichi d’une lettre autographe signée, Neuilly, s.d. [1924], probablement adressée à Colette, directrice de la collection portant son nom chez Ferenczi, qui lui a demandé un écrit pour la dite collection. Heureux qu’elle ait apprécié son "Dents de chien" [dans Les Olympiques], il peut lui promettre de lui donner quelque chose mais ne sait pas quoi ni quand, s’apprêtant à partir pour l’Italie. "J’ai un grand roman sur les taureaux auquel je pense depuis 10 ans, mais il faut que je passe plusieurs mois en Espagne pour le finir". (4 pages in-8, sur papier deuil, montées sur onglet).