"Just as in the cinema the screen opens up from the old format to the cinemascope format, we see the canvas unfold in length until it reaches 2.50 meters. On its surface, large suspended nebulae, streaked with scattered lines, not painted, but printed in the fresh thickness of the paste, like graffiti on the wall."
Jean Clair, « Hans Hartung, la nue, les éclairs », L'Art vivant, no 20,‎ May 1971


« Comme au cinéma on voit s’ouvrir l’écran du format ancien au format du cinémascope, on voit la toile se déployer en longueur jusqu’à atteindre les 2,50 m. Sur sa surface, de grandes nébuleuses en suspension, zébrées de traits épars, non pas peints, mais imprimés dans l’épaisseur fraîche de la pâte, comme des graffitis sur la muraille ».
Jean Clair, « Hans Hartung, la nue, les éclairs », L’Art vivant, no 20,‎ mai 1971