Elève de son père, le fameux peintre et graveur Léopold Flameng (1831-1911), François Flameng rejoint dans un premier temps l'atelier de Cabanel avant de se diriger vers celui de Jean-Paul Laurens qui lui permet davantage de se trouver, tant dans l'utilisation de la matière que dans la technique plus vigoureuse et sensuelle.
Flameng a une préférence pour les scènes historiques qu'il tient certainement de Cabanel, mais il peint aussi bien les scènes de genre et portraits de personnalités de l'époque (voir le lot 192).