

Édition originale, ornée d’un frontispice et de culs-de-lampe par Georges Minne.
C’est l’unique recueil de poésies de l’auteur.
Tirage à 155 exemplaires sur hollande Van Gelder, celui-ci enrichi de cet envoi autographe :
à Ephraïm Mickhaël,
au noble et fin poète que
j’admire
M. Maeterlinck
Maeterlinck et son ami Ephraïm Mikhaël (1866-1890), poète symboliste rencontré à Paris en 1885, participèrent tous deux à la fondation de la revue La Pléiade en 1886, aux côtés notamment de Rodolphe Darzens. C’est dans cette revue que Maeterlinck publia pour la première fois des vers de Serres chaudes.