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Don Lawrence (1928-2003) Storm, La planète vivante
Estimate
3,500 - 4,500 EUR
bidding is closed
Description
- Don Lawrence (1928-2003)
- encre de Chine et gouache sur carton
- 51 x 36 cm
Planche 30
(Oberon - 1985)
Créé aux Pays-Bas dans la revue Eppo, Storm a connu plusieurs scénaristes (dont Don Lawrence lui-même) et des traductions françaises, chez Glénat d’abord, chez Toth ensuite. Cette série post-apocalyptique permet au dessinateur britannique de mêler héroïc fantasy et science-fiction, elle a assis sa notoriété internationale alors qu’il publiait en Grande-Bretagne depuis la fin des années 50. On considère aujourd’hui, un peu plus de dix ans après sa mort, que Don Lawrence est l’un des tout grands illustrateurs réalistes britanniques. Cette planche en apporte la démonstration. Ses personnages sont si réels qu’on a l’impression que le dessinateur a travaillé sur modèle pour le moindre second rôle ! Les couleurs à la gouache sont très belles, les paysages variés, et tout aussi réalistes. Quant aux espèces d’autruches à bec crochu sur lesquelles montent les personnages, elles ont un petit quelque chose de vivant au fond de l’oeil. Sans compter le personnage féminin à la sexualité très exacerbée, comme souvent chez Don Lawrence.
(Oberon - 1985)
Créé aux Pays-Bas dans la revue Eppo, Storm a connu plusieurs scénaristes (dont Don Lawrence lui-même) et des traductions françaises, chez Glénat d’abord, chez Toth ensuite. Cette série post-apocalyptique permet au dessinateur britannique de mêler héroïc fantasy et science-fiction, elle a assis sa notoriété internationale alors qu’il publiait en Grande-Bretagne depuis la fin des années 50. On considère aujourd’hui, un peu plus de dix ans après sa mort, que Don Lawrence est l’un des tout grands illustrateurs réalistes britanniques. Cette planche en apporte la démonstration. Ses personnages sont si réels qu’on a l’impression que le dessinateur a travaillé sur modèle pour le moindre second rôle ! Les couleurs à la gouache sont très belles, les paysages variés, et tout aussi réalistes. Quant aux espèces d’autruches à bec crochu sur lesquelles montent les personnages, elles ont un petit quelque chose de vivant au fond de l’oeil. Sans compter le personnage féminin à la sexualité très exacerbée, comme souvent chez Don Lawrence.