Ferdinand-Victor-Eugène Delacroix

Peut-être, Alfred Robaut, L'œuvre complet de Eugène Delacroix, Paris, 1888,  partie du lot n°1459 : Académies et Etudes d'après la bosse, 1816/1822, 70 feuilles de dessins et croquis, ou du lot n°1922, Académies et études d'après la bosse, 70 feuilles de dessins au crayon ou à l'estompe ;
Maurice Serullaz, Eugène Delacroix, catalogue complet de l'oeuvre, Arnoldo Mondatori, Milan, 1980 et Nathan, Paris 1981, n°9, p.200, reproduit.

The photography in the printed catalogue is slightly to light and contrasting The drawing is on a sheet with irregular edges and we can notice several very small restored tears alond the four edges. The upper right corner is restored.The white chalk parts are visibles on the right calf, on the upper part of the back and above the hips. Several small ink stains are visible on the left part of the sheet: they are dated from the artist period. At the reverse, there is a sketch for the same study. Overall good condition
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Mademoiselle Rose, modèle de l'atelier de Guérin, posa plusieurs fois pour Delacroix autour de 1820. Une lettre témoigne de la présence du modèle posant pour l’artiste et ses amis dans l’atelier de Raymond Quinsac Monvoisin (1790 – 1870), élève de Guérin en même temps que Delacroix. L'artiste a souvent représenté Mlle Rose, notamment dans une huile conservée au musée du Louvre. (Cf, Tout l’œuvre peint de Delacroix, Paris, Flammarion, 1975, n° 36, pl. I).

Le célèbre modèle posa également pour Bonington. Ce dernier, ami de Delacroix qu’il rencontre en venant vivre à Paris avec sa famille en 1818, réalisa un dessin au crayon noir et estompe, très proche de notre dessin par le sujet et par le style (voir l'illustration ci-dessous). Ces deux dessins témoignent de l'amitié des deux artistes qui partagaient leurs séances de travail.