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Romains, Jules
Estimate
2,000 - 3,000 EUR
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Description
- Romains, Jules
- deux poèmes.Paris, Mercure de France, 1910.
In-8 (200 x 141 mm).
envoi autographe signé à l'encre noire sur le faux-titre : "à Guillaume Apollinaire son ami Jules Romains".
reliure postérieure attribuable à gonon. Bradel, papier doré, couverture et dos.
Faux-titre et verso du dernier feuillet roussi.
pièce jointe : une carte de visite de Guillaume Apollinaire, 9 rue Léonie, montée sur onglet, écrite recto-verso, adressée par Apollinaire [à Gustave Kahn] au sujet de vers pour le Gil Blas. Il y mentionne son ami Jules Romains.
envoi autographe signé à l'encre noire sur le faux-titre : "à Guillaume Apollinaire son ami Jules Romains".
reliure postérieure attribuable à gonon. Bradel, papier doré, couverture et dos.
Faux-titre et verso du dernier feuillet roussi.
pièce jointe : une carte de visite de Guillaume Apollinaire, 9 rue Léonie, montée sur onglet, écrite recto-verso, adressée par Apollinaire [à Gustave Kahn] au sujet de vers pour le Gil Blas. Il y mentionne son ami Jules Romains.
Provenance
Guillaume Apollinaire--Paul Eluard (ex-libris).
Catalogue Note
Ce recueil contient deux poèmes : le Poème du Métropolitain écrit en 1904 et publié en juin 1905 dans la "Revue littéraire de Paris et de Champagne" ; l'ode A la foule, composée en mars 1909, et dite le 2 juin de la même année par de Max au théâtre de l'Odéon.
En 1909, Jules Romains présente Apollinaire comme un des plus remarquables représentants de la poèsie nouvelle avec Max Jacob auprès de Chennevière, Vildrac, Duhamel...
Mais alors qu'en 1911, Jules Romains lui dédie Puissances de Paris, Apollinaire fait, dans "La Nouvelle Revue Française", une critique sévère de la pièce de Romains L'Armée dans la ville . Dans La Vie anecdotique du 1er avril 1911, Apollinaire lui consacra une chronique.
En 1909, Jules Romains présente Apollinaire comme un des plus remarquables représentants de la poèsie nouvelle avec Max Jacob auprès de Chennevière, Vildrac, Duhamel...
Mais alors qu'en 1911, Jules Romains lui dédie Puissances de Paris, Apollinaire fait, dans "La Nouvelle Revue Française", une critique sévère de la pièce de Romains L'Armée dans la ville . Dans La Vie anecdotique du 1er avril 1911, Apollinaire lui consacra une chronique.